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Les beaux jours reviennent avec l’AKDT

Publié le 13.03.2023

Lieu: Neufchâteau et Libramont

L’AKDT

Contacts : Mathilde Halbardier, chargée de projets et de communication,

mhalbardier@akdt.be; +32(0)61 22 55 01.

61 étés avec l’AKDT

L’académie d’été (AKDT) est devenue une véritable institution en province de Luxembourg. L’idée a germé en 1962, à Neufchâteau, dans l’esprit de 2 esthètes passionnés, Yvette Schenéder professeure de danse classique, et l’abbé Remy Cornerotte, prêtre et artiste qui créera, entre autre, une Maison artisanale à Martilly. Et depuis lors, des centaines de stagiaires en danses et musiques de monde, en arts plastiques ou du spectacle vivant viennent prendre l’air et s’imprégner d’arts à la campagne.

 

Le programme 2023 reste éclectique puisqu’il touche à des domaines artistiques très variés et propose cette année encore, 193 stages !

 

 

 

 

 


 

Une pause dans un monde en crise

Aujourd’hui, Neufchâteau et Libramont se partagent près de 2 000 stagiaires au mois de juillet.

A Neufchâteau, les élèves en Arts du spectacle et en danses et musiques de monde se dissémineront entre l’Athénée, les écoles St-Michel ou St-Joseph, le Moulin Klepper et l’espace 29.

A Libramont, toutes les activités  Musiques  sont maintenues à l’Institut Centre Ardenne.

 

 


Les stages 2023 débutent le 9 pour se terminer le 30 juillet. Trois semaines riches en apprentissages, en partages, et en rencontres de tous horizons. Il y en a pour tous les goûts et les couleurs. Que vous soyez débutants ou plus expérimentés, jeunes ou plus âgés, il y a un stage pour vous à l’AKDT.

 

Pour les habitants de ces deux petites villes, c’est aussi une aubaine. Durant 3 semaines, ils sont plongés dans une ambiance où tout n’est qu’ordre et beauté. Comme les stagiaires, Chestrolais et Libramontois sont invités à participer, en fin de journées, à des ateliers qui leur permettent de découvrir un panel de disciplines artistiques. Ils seront également les bienvenus aux animations ou aux représentations préparées par les stagiaires et leurs professeurs, à l’espace 29.

 

 


 

Un succès toujours renouvelé

Depuis ce 8 mars, les inscriptions sont ouvertes. Elles s’opèrent en ligne uniquement, en remplissant le formulaire qui se trouve en bas de chaque proposition de stage. Mais n’attendez plus et surtout précipitez-vous. En seulement 2 jours, il y a déjà près de 1000 inscriptions et certains stages affichent complets.

Pour vous inscrire cliquez ici

Un programme et des professeurs à la pointe

Parmi le vaste choix, pointons quelques nouveautés et professeurs très réputés dans leurs disciplines.

En arts plastiques : Jean-Paul Laixhay, peintre, architecte et professeur à St-Luc Liège animera un stage intitulé Zoom. Durant cette formation, le stagiaire produira des œuvres plastiques et graphiques sous toutes ses formes : travail sur chevalet, au sol, en noir et blanc ou en couleurs et dans tous les formats. 

En arts du spectacle, le Russe Boris Rabey, metteur en scène, professeur d’art dramatique et réalisateur à la télévision proposera deux stages : l’alphabet théâtral et l’analyse-action. Le 1er développant une pratique théâtrale qui tire ses méthodes de l’école russe de théâtre. Et le 2e analysant le travail complexe du comédien dans la construction d’un rôle,  selon la méthode du metteur en scène et pédagogue Stanislavski.

 

 

En musiques, le stage de Hip Hop et de Rap est encadré par Kaer, disque d’or avec Starflam et coach scénique de Hatik, Blu Samu, Peet, Hamza… etc. L’artiste y transmettra son expérience en création de musiques urbaines.

 

 

 

Dans la catégorie Danses et musiques du monde, la chanteuse géorgienne Nino Naneishvili explorera la tradition musicale de son pays natal représentée par les chants polyphoniques. Sacrés ou populaires, ces chants sont interprétés selon des codes bien précis, selon le type de chant, mais aussi selon les régions.

Et enfin,  de la Géorgie poursuivons notre tour du monde avec la danse d’Inde méridionale : le bharata natyam. Mélange de danse classique et d’art martial, cette danse liée aux pratiques religieuses sera décryptée par la danseuse et chorégraphe Lucia Anjali.

 

 

 

 

Et dans ce programme foisonnant, les enfants ne sont pas oubliés. Portant le joyeux nom d’enfants phares, ces stages d’arts mélangent ou pas, musiques, arts plastiques, et arts du spectacle et leur sont tout particulièrement réservés.

 

 

Futurs acteurs, chanteurs, scénographes, musiciens, ils apprendront par différentes techniques à affirmer leur créativité dans une atmosphère joyeuse, ludique et amicale.

 

 

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